
Heille, la Floride, ça n’est pas l’équipe du siècle, pourtant! Sixième défaite de suite, mais Price n’est pas à blâmer, il n’était pas dans les buts! Jacques Martin, qui risque de ne pas être là pour très longtemps non plus, si ça continue, avait plutôt placé à sa place Budaj, un Bouddha slovaque. Ça permettra aux blagueurs de continuer à bloguer!
Bon, tant qu’à être réveillé, aussi bien imprimer quelques feuilles pour ma femme et la cantine de l’école …
De retour aux sports… quelques mots de football, dont les résultats du week-end furent plus heureux que ceux du hockey.

Puis, hier dimanche, alors que tous s’attendaient au match de l’année, de la décennie, du siècle, le Vert et Or de Sherbrooke, dit les Grandes Gueules, venaient affronter notre Rouge et Or, tout en noir, sur son propre terrain. Match plutôt à caractère défensif au début, un Prudhomme, notre quart-arrière qui en arrache un peu, et puis, l’alarme se déclenche enfin, et dans les dents, la raclée se donne par un score de 40 à 10. Les Sherbrookois repartent la queue entre les jambes, en silence! Et Laval terminera avec le championnat québécois en poche, c’est assuré!
Mais le plus beau match, c’est samedi après-midi. D’un côté, le Notre-Dame du Collège Notre-Dame-de-Foy, avec leurs supporteurs à crécelle (quel bruit « crécellifère »!), en deuxième place, et une fiche de 6-2, et de l’autre, les Titans du Cégep Limoilou, sur leur propre terrain, fiche de 7-1, luttaient pour le championnat de la saison régulière. J’avais prévu une victoire de nos Titans, ceux de notre fils Jérôme, par 15 points, et je ne fus pas déçu. 28-13, ce fut la marque finale que le grand tableau nous afficha après un match durement disputé, mais que les Titans ont mené de bout en bout.
Les Titans ont maintenant une semaine de repos alors que les 6 autres équipes retenues pour les finales doivent se disputer les honneurs des quarts de finales. Prochaine étape pour nos champions, le 5 novembre pour la demi-finale et le 12, assurément, pour le grand évènement du Bol d’Or. Pendant ce temps, samedi prochain, fort probablement, j’irai voir la rencontre opposant le Notre-Dame aux Faucons de Lévis-Lauzon.

Déjà, quelques-uns de ces monstres urbains ont poussé dans les rues avoisinantes et les grands vents récents ne les ont pas délogés; monstres laids, cela est vrai, mais moins bruyants qu’un souffleur à neige et fort utiles le matin après une bonne bordée de neige ou les jours de grand froid. Cela empêche que votre vie soit un « jardin de givre », même quand « la neige a neigé » !